
Si vous avez des questions à propos de l'ISTOM, sur son histoire, sa formation, les frais de formation, la vie étudiante... nous vous invitons à consulter notre foire aux questions. Et si vous ne trouvez pas votre réponse, contactez-nous !
Le métier de l'ingénieur consiste à résoudre des problèmes complexes, liés à la conception, la réalisation et la mise en œuvre de produits, de systèmes ou de services. Il exerce son activité dans l’ensemble des secteurs : industrie, bâtiment, travaux publics, agriculture, transports, finance, environnement, énergie...
Des nombreuses missions sont confiées à l’ingénieur telles que l'organisation, la gestion, la commercialisation, ou encore l'animation des équipes… le plus souvent dans un contexte international. C'est pourquoi l'ingénieur doit disposer, en plus d'un solide bagage scientifique et technique, d'aptitudes à la gestion, au management et à la communication.
Devenir ingénieur de l'ISTOM, ce n'est pas du tout travailler avec des maths, des machines, des programmes informatiques.
C'est avant tout un métier où les relations humaines sont primordiales. Où le travail sur le terrain, dehors, est bien plus important que le travail à son bureau. C'est aussi un métier où l'on ne travaille jamais seul mais toujours en équipe.
L'ingénieur de l'ISTOM a des responsabilités par rapport au monde du vivant mais aussi par rapport à la société. Ingénieur en somme, ça revient à aider les autres. L'ingénieur diplômé de l'ISTOM utilise les sciences de la vie et de l'environnement pour permettre aux groupes sociaux de vivre sans dégrader leur milieu.
L'ingénieur c'est d'abord celui ou celle qui écoute, qui parvient à comprendre les acteurs d'un territoire et qui ensuite, les accompagne, dans le sens des transitions attendues. C'est un scientifique mais avant tout un médiateur entre la science et la société.
L'ingénieur de l'ISTOM n'est pas celui ou celle qui invente des solutions avec son ordinateur. Au contraire, son travail consiste à écouter, comprendre ce qui se passe et à accompagner les acteurs vers les transitions nécessaire, avec des innovations qui viennent d'en bas.
A titre d'exemple, une étudiante de l'ISTOM a fait son stage d'ingénieur au Sénégal, au sein d'un living lab, avec les équipes de l'IRD (Institut de recherche et de développement). Pendant six mois, elle a travaillé et échangé de façon participative avec la société civile (par exemple avec des jeux de rôle), contribué à favoriser les prises de conscience locales des risques planétaires, à rapprocher les scientifiques et la société.
La formation d'ingénieur de l'ISTOM est officiellement enregistrée au RNCP (Registre national des certifications professionnelles), sur le site public de France Compétences. Les compétences acquises durant la formation, les modalités de leur validation, les métiers et secteurs correspondants y sont indiqués. Ces éléments sont officiels et validés par la Commission des titres d'ingénieur et par France Compétences. Parmi les secteurs d'activités, nous pouvons notamment retrouver :
L’ISTOM, comme plusieurs dizaines d’écoles d’ingénieur, ne figure pas dans les classements.C’est un choix assumé. Deux raisons principales l’expliquent :
Ces classements, dans leur principe, sont critiquables. Ils se basent sur une vision de la qualité très arbitraire, que l’ISTOM ne cautionne pas. Nous partageons en effet une autre vision de la qualité, tournée par exemple vers l’originalité du projet de formation, l’investissement des équipes dans le tutorat des étudiants, l’éthique des choix partenariaux, la diversité des attentes des élèves, la satisfaction des diplômés dans les postes obtenus qui ne sont pas pris en compte dans ces classements. Ces derniers incitent les écoles à adopter des stratégies visant à améliorer leur position (en regard des critères utilisés dans les classements, cf. point suivant) au détriment d'autres aspects importants comme par exemple, l'innovation pédagogique, qui n’est pas non plus prise en compte dans ces palmarès d’écoles. L’ISTOM ne souhaite pas entrer dans ces logiques. En effet, intégrer ces classements exige d’y investir beaucoup de moyens pour tenter d’y progresser, moyens qui peuvent être pris au détriment d’autres priorités, plus essentielles pour les élèves, ce que ne souhaite pas l’ISTOM. Enfin, ces classements contribuent à renforcer une hiérarchisation des écoles d’ingénieur et donc une vision élitiste qui renforce les mécanismes d’inégalité d'accès à l’enseignement supérieur et ne valorisent pas la complémentarité des parcours d’études possibles avec les spécificités de chacun.
Les critères retenus pour classer les écoles n’avantagent pas les petites écoles comme l’ISTOM : « Nombre de doctorants », « nombre de chaires industrielles financées par des entreprises », « doubles diplômes internationaux », « résultats dans les classements internationaux », etc. Forcément, les petites structures sont tirées de cette façon vers le bas du classement, surtout si comme l’ISTOM, elles ne souhaitent pas s’engager dans une course à la taille ou aux publications académiques à outrance. Pourtant, sur ces dimensions de l’international et de la recherche, l’ISTOM possède de nombreux atouts. L’école possède un large réseau d’entreprises à travers le monde. La mobilité internationale du cursus est ainsi avant tout une mobilité de stage et non d’études. Les stages du cycle ingénieur ne se font pas en France, mais à l’international, ce qui permet des intégrations très professionnalisantes, dans des contextes très spécifiques. L’école a développé une unité de recherche dont l’interdisciplinarité du projet scientifique et le haut degré de collaboration avec ses propres étudiants sont aussi des facteurs de qualité.
Salaire mensuel minimum | 16 à 17 ans | 18 à 20 ans | 20 à 25 ans | 26 ans et + |
1ère année | 27 % du SMIC | 43 % du SMIC | 53 % du SMIC | 100 % du SMIC |
2ème année | 39 % du SMIC | 51 % du SMIC | 61 % du SMIC | 100 % du SMIC |
3ème année | 55 % du SMIC | 67 % du SMIC | 78 % du SMIC | 100 % du SMIC |